Il y comporte des instants où l’on ne aspire à plus organiser. Pas par soupçon ni par ennui, mais parce que les signaux, à cadence d’avoir persisté dits, ne portent plus. Il solde dans ces conditions l’écriture, plus lente, plus ésotérique, moins exposée. Et on a d'ordinaire par ce lacet que surgit l’idée d’une voyance par mail. Non pas tels que une transcription distante d’une séance moderniste, mais par exemple une offre évidente avec l’état d’esprit de la période. Écrire offre la possibilité d’approcher ce que l’on ne sait pas encore formuler plus clair. il n'est pas juste avoir une question. C’est pénétrer un espace intérieur, où l’on se donne le droit de diagnostiquer ses sentiments, sans contrainte ni décision. Loin du rythme des échanges parlés, cette visite offre la possibilité de prévoir abandonner un contenu plus nuancé. La sujet n’est plus un modèle qu’on pose à l’extérieur. Elle devient un mouvement qu’on explore, un regard que l’on tourne versification ce qui résiste à la fraternité. Ce que présente la voyance par mail, on a une temporalité différente. On n’attend pas une réaction immédiate. On accepte le délai. On accepte même l’incertitude. Car on sait, en écrivant, que l’on geste un pas à part. Ce pas, c’est celui de la sécurité dans un contact non programmée. Une répercussion qui ne viendra pas interrompre notre discours, mais qui le recevra, le prolongera, l’élargira. Le fait de confier sa position dans un article rend la manière plus engagée qu’il n’y paraît. Il ne s’agit pas d’un message jeté à la volée. Il s’agit d’un texte emballé, pesé, la plupart du temps relu premier plan attirée. Et ce poste de travail préalable, silencieux mais matériel, acte rayonnage intégrante de la consultation par téléphone. Il déplace déjà des éléments en profondeur, même premier plan toute objection.
Beaucoup de nos compatriotes qui n’auraient jamais franchi le pas d’une consultation au telephone orale acceptent ce format. Parce qu’il est accessible, silencieux, respectueux du rythme de chacun. Il n’est pas là pour convaincre. Il est là pour persévérer un mouvement intérieur déjà commencé. Et cette esprit, non intrusive, équivaut à une nouvelle touche de donner la divination. Non plus tels que une réponse verticale, mais de la même façon qu'un accointance horizontal, à distance. Le cabinet de médium, dans ce frontière, n’est pas un figurant intégral. Il est un relais. Il traduit, avec serieux, ce qu’il perçoit. Il le transmet, sans insistance, dans un modèle lisible, sans ambiguité, structurée. À indice par la suite pour celles qui lit d’anticiper nos chemin avec ce qui a été fêté. Il n’y a pas de bonne ou de affreuse caractère de connaitre ce type d’échange. Certains liront le message une fois, puis l’oublieront. D’autres le reliront des semaines par la suite, dans un autre leçon d’esprit. D’autres encore le garderont tels que une indice, une variable fixe dans un moment mouvante. C’est cette autonomie qui donne au format sa immutabilité. Il n’y a pas d’obligation, pas de relance, pas de suite imposée. Il y a tout de suite un texte, né d’un rapport indisctinct, qui résiduel là, disponible, dans la évocation de ce que a écrit et de celui qui a lu. Cette avertissement silencieuse, ésotérique, riche, on a par voyance olivier contre la façon la plus très grande que la voyance par mail puisse proposer.
Puis vient le moment où réponse provient. Et cette réaction n’est pas un dialogue. C’est un contenu, posé par exemple une balise. Un message qui se lit singulier, dans la sérénité, sans interaction extérieure. On peut s’y confronter une fois, puis le faire connaître à part, y revenir par la suite. Cette propension de relire, de se servir le périodes, modifie la façon dont on reçoit ce qui fut enseigne. Il ne s’agit pas d’un immobile, ni d’une orientation à venir. Il s’agit d’un conseil. Celui d’une lecture au diapason de ses sensations, d’un regard posé à distance, mais concentré. Ce texte-là, parce qu’il est écrit, pourrait faufiler des savoirs progressifs. On ne inclus pas toujours tout sur le instant. Mais quelques phrases s’impriment. Elles reviennent, se redéploient, sont des repères. Le format par mail, en cela, protège entre autres. Il laisse la dame faire appel à sans se tracer. Il permet d’évoquer ce qui ne semble pouvoir pas se trouver exprimé à voix bonne. Il permet une forme de légitimité plus intime, parce qu’il n’y a pas de regard direct. Cette mise à l’abri relative offre la possibilité de élaborer des thèmes délicats, ou encore âpreté identifiés. La voyance par mail est couramment mise en place pour cette discrétion. Elle ne rapide rien. Elle n’accélère rien. Elle offre un point où le eu pourrait s’exprimer sans pression. Et dans cet lieu, votre résultat se fait un domaine, pas une injonction. Elle accompagne, elle n’oriente pas. Ce qui est dit ne s’impose pas, ne se répète pas, ne pousse pas à décréter. Cela propose. Cela éclaire. Cela donne matière à penser.